Le terme «mise en bière» fait référence à une opération du service assurant l'organisation des funérailles lors du placement du corps d'une personne décédée dans le cercueil. En France, cette opération est une phase exigée en cas de disparition, car l'usage d'un cercueil est également obligatoire.

Comment expliquer l’expression ?

L’organisation des funérailles commence en principe dès déjà lors de la veillée funèbre. D’abord, l’expression la ’’mise en bière’’ se traduit par le fait de placer le défunt dans le sarcophage. Le cercueil se rapproche en signification de ‘bière’. Pour plus de précision, ceci est une sorte de coffre plus longue et plus large par rapport à la taille du défunt. Ce sont les personnels travaillant dans l’entreprise y afférente qui s’en acquittent pleinement. En général, ce placement dans le cercueil doit se réaliser le jour des funérailles, quelques temps avant le départ du cortège funèbre pour rejoindre le cimetière. Cependant, pour les personnes qui meurent d'une maladie officiellement approuvée contagieuse, maladie endémique ou pandémique, l’opération doit se faire peu de temps après la mort de la personne, puisque la condition écarte quelques gestes de pratiques funéraires. Après la préparation la plus expéditive des papiers funéraires, les obsèques doivent se dérouler dans les meilleurs délais. Pour plus de renseignements sur la mise en bière, prière de faire davantage d’autres recherches ailleurs. 

Le placement du corps dans le cercueil

Dans la plupart des cas, la famille ainsi que les membres du défunt ne doivent pas se présenter à l’opération de placement du défunt dans le cercueil ; cette précaution est prise pour éviter les possibles répercutions psychique du choc. Toutefois, dans le cas normal, on leur a demandé d'être présents devant les cadavres, bien entendu, s’ils veulent, avant que le croque-mort ne referme définitivement le cercueil. Cette scène occupe en général de 30 minutes à 1 heure, en fonction du nombre d’assistants accordant le dernier hommage adressé au défunt. Après la mise du couvercle du cercueil et la fermeture des funérailles, le comité funéraire réalise la levée du corps, c'est-à-dire, l’achèvement de la cérémonie marqué par le fait de rejoindre le lieu d’inhumation ou de crémation. A souligner que, quel que soit le motif, si aucun des proches n’est pas présent pendant qu’on ferme le coffre funèbre, un personnel de la police doit être présent sur place. Il a ensuite authentifié avec un sceau le cercueil, puis rédigé un rapport sur le placement et le scellement du cercueil. Eh bien, tout cela, c’est ce qu’on appelle ‘organiser les obsèques’.

Les règles à suivre pour l’organisation des obsèques 

L’organisation des obsèques est bien réglementée officiellement. La loi exige que deux personnes au minimum soient présentes lorsqu'un mort est placé dans un cercueil. Au contraire, la loi que seul un cadavre est destiné pour un même sarcophage à l’exception du cas de deux ou plusieurs enfants issus d'une mère commune, lesquels sont nés vivants mais morts quelques temps après, eux peuvent être placés dans le même coffre. Une fois placé dans le cercueil, La dernière opération consiste la fermeture finale du cercueil assistée et autorisée par une personne chargée d'état civil pouvant délivrer le permis d’incinérer ou d’inhumer. L'autorisation précitée sera obtenue si les proches du défunt ou l'entreprise chargée du dossier funéraire s’est acquittée de la délivrance du "certificat de décès" attesté par un médecin constatant le décès de la personne. Et, c’est l’idée d’organiser les funérailles.